Le Rapport Planète Vivante présente, tous les deux ans depuis 1998, l’état de la biodiversité sur la planète. Vingt ans après la sortie du premier Rapport Planète Vivante, le constat est plus qu’alarmant. Inversons la tendance, maintenant.
Elle nous approvisionne en eau, nourriture, médicaments et nous rend des services aussi précieux qu’irremplaçables. Les services de la nature sont estimés à environ 125 000 milliards de dollars (US) par an. Mais aujourd’hui, la stabilité des systèmes planétaires est mise en péril.
Nous vivons un phénomène inédit, la Grande Accélération : l’explosion démographique et la croissance
économique entraînent des changements planétaires sans précédent en raison de la demande accrue en énergie, en terres et en eau.
Or, sans la nature, nous ne savons pas si l’espèce humaine pourra continuer à prospérer.
Les chiffres sont là, accablants. Selon l’IPV (Indice Planète Vivante), entre 1970 et 2014, l’effectif des populations de vertébrés sauvages a décliné de 60%. Surexploitation des ressources et activités agricoles demeurent les causes principales de cette érosion.
La pression exercée par l’homme sur nos écosystèmes devient extrêmement préoccupante au point de menacer considérablement plus de la moitié des espèces sauvages mais également notre propre existence. Le Rapport Planète Vivante rappelle, outre la gravité de la situation, les solutions à portée de main pour commencer à y remédier.
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